Je nous ai fait un livre!
Ça s’appelle Le film de Sarah, c’est 232 pages de dessins en couleurs et c'est sorti à la fin octobre 2022 dans toutes les librairies du Québec.
En octobre 2019, entrevoyant la promesse d'une bonne bande dessinée, je suis partie à Schefferville/Matimekush-Lac John pour suivre le tournage du film Nouveau-Québec, de l’intrépide réalisatrice Sarah Fortin. 900 kilomètres de route le long du fleuve, puis douze heures de train vers le nord et enfin un mois en pick-up à soulever la poussière rouge d'une ville minière isolée au milieu de la taïga, en territoire innu et naskapi, sans réseau cellulaire, avec une petite équipe de professionnels du cinéma... L’aventure serait clairement au rendez-vous.
Trois ans plus tard, mes observations et aventures de tournage sont publiées chez Nouvelle adresse dans mon premier roman graphique, Le film de Sarah. C’est une œuvre en soi, indépendante du film, qui se situe quelque part entre le bd reportage, le carnet de voyage et l’autofiction.
Ça s’appelle Le film de Sarah, c’est 232 pages de dessins en couleurs et c'est sorti à la fin octobre 2022 dans toutes les librairies du Québec.
En octobre 2019, entrevoyant la promesse d'une bonne bande dessinée, je suis partie à Schefferville/Matimekush-Lac John pour suivre le tournage du film Nouveau-Québec, de l’intrépide réalisatrice Sarah Fortin. 900 kilomètres de route le long du fleuve, puis douze heures de train vers le nord et enfin un mois en pick-up à soulever la poussière rouge d'une ville minière isolée au milieu de la taïga, en territoire innu et naskapi, sans réseau cellulaire, avec une petite équipe de professionnels du cinéma... L’aventure serait clairement au rendez-vous.
Trois ans plus tard, mes observations et aventures de tournage sont publiées chez Nouvelle adresse dans mon premier roman graphique, Le film de Sarah. C’est une œuvre en soi, indépendante du film, qui se situe quelque part entre le bd reportage, le carnet de voyage et l’autofiction.
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Revue de presse
"Quelque part entre le documentaire et l’autofiction, Le film de Sarah est à la fois une porte ouverte sur les dessous du cinéma et un portrait de la vie loin au nord de Sept-Îles, là où aucune route ne se rend."
– Alexandre Vigneault, La Presse (16 novembre 2022)
"On a donc affaire à un récit documentaire au trait très esquissé, rapide et d’une redoutable efficacité, dans lequel le temps est élastique et va au gré du rythme effréné d’un tournage presque impossible, étant donné les conditions, en territoire innu et naskapi. Outre le travail des artisans du cinéma, c’est le regard sensible et intelligent que Caroline Lavergne porte sur cette ville minière du Nord, éternelle mourante, si loin de tout, qui est le véritable moteur de l’album."
– Le Devoir (19 novembre 2022)
"Plein de candeur et d’humour, entre le reportage et la fiction, cette incursion initiale dans l’univers de la bande dessinée sied particulièrement bien à l’autrice qui a le don d’exploiter les bons filons."
– Mathieu Roy, critique sur BDQG (25 novembre 2022)
"Du génie! Roman graphique alliant la fiction, le travail documentaire et le récit d'aventures! On y suit Caroline, l'autrice, qui elle-même suit Sarah, réalisatrice. Elles se retrouvent sur la Côte-Nord pour un tournage, avec une grande équipe et de grands projets! La conclusion est parfaite, l'oeuvre est sublime! Et que dire des dessins de Caroline Lavergne 🤩 L'aquarelle à son meilleur, le trait brouillon de l'illustratrice effrenée, du génie!"
"Il y a, dans cette lettre d’amour dessinée, quelque chose de magique."
Caroline et Sarah à Il restera toujours la culture (Radio-Canada, 2 novembre 2022)
Caroline à l'émission KUEI! KWE! avec Melissa Mollen Dupuis (Radio-Canada, 3 décembre 2022)
Capsule de la Fabrique Culturelle sur le processus de création de Le film de Sarah
