Travail réalisé dans le cadre du cours d'espace scénique à l'UQAM (18-19)
ESPACE LIBRE \ 1945 RUE FULLUM
07-11-2018 \ 11:15 am
OUROBOROS
Selon la Société Québécoise de la schizophrénie, une personne est diagnostiquée comme schizophrène si elle développe des idées délirantes, des hallucinations ainsi qu’un discours désorganisé. (nous pouvons y ajouter une longue listes Symptômes supplémentaires tels que : un comportement désorganisé ou catatonique, des troubles émotionnels , une aboulie (ne plus maitriser sa volonté dans le sens psychologique du terme). Souvent mal comprises, les maladies mentales nous effrayent et nous éloignent des personnes souffrantes obligées de vivre dans un isolement parfois extrême.
“ QU’UN LIEU SOIT OUVERT OU FERMÉ,
CELA NE DÉPEND PAS UNIQUEMENT DES MURS. ”
- François Tosquelles
Dans ce travail, nous nous sommes concentrés sur la la schizophrénie paranoïde, le type le plus commun de schizophrénie est caractérisé par des délires paranoïdes, généralement accompagnés d’hallucinations, en particulier auditives, et des troubles de la perception. Le sujet de notre travail d’espace scénique intitulé « Ouroboros » : est notre interprétation d’un corps emprisonné par les hallucinations de son propre cerveau.
L’Ouroboros, ce serpent autodestructeur, est le symbole du cycle éternel, du temps qui se répète sans cesse. Même si la mort ou la destruction interrompt le destin de certaines personnes ou choses, ce n’est pas une fin car d’autres continuent leurs vies ou la commencent. C’est l’espoir d’une renaissance permanente .
Vidéo du projet (filmé par un étudiant de l'UQAM)
Storyboard préliminaire
Dispositif de projection : le projecteur est disposé à l'arrière des deux écrans.
Plan d'implantation du dispositif
Animation des yeux
