Dans un futur où l’humanité n’aura d’autres choix que de construire vers le ciel à défaut de pouvoir le faire sur la terre, quel est l’avenir de nos villes ?
Coupés d’un environnement naturel, nos sens ne seraient que sensibles à un environnement artificiel pollué d’informations lumineuses, sonores et de gaz toxiques. Nos villes du futur, témoins de nos progrès techniques, que nous idéalisons, ne risqueraient elles pas de devenir nos prisons ?