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ANNABELLE
Paroles: Hélène Scrive
Musique : Hélène Scrive - Stéphan Girard
Je me rappelle… d’Annabelle mon amie
Dont les yeux brillaient
Comme des étoiles
C’est avec elle…que j’ai aimé grandir
Je me souviens des étincelles
De son sourire…
Durant l’été… cheveux au vent…
Nous courrions vers la mer
Naïveté… des enfants…
Nous rêvions… au monde des grands
Et nous passions des après-midi
À mettre les robes de sa mère
Du haut de nos souliers…
C’était le paradis
Annabelle… a toujours son sourire
Mais je le sens plus fragile
Maintenant…
Je crains parfois… qu’il ne se brise
Comme de l’argile…
Ou du cristal
Dans les yeux d’Annabelle…
Se cache un orage
Que je n’avais jamais vu…
Auparavant
Tant de souvenirs
Bien des années ont passé
Mais je sais combien de fois
Un joli sourire
Réussit à masquer
Les larmes qui s’y noient
Chère Annabelle…
Nous ne sommes plus des enfants
Qui jouaient souvent…
À la madame…
Les années ont passé
Et ont fait de nous des femmes…
Des femmes…
Annabelle… a toujours son sourire
Mais je le sens plus fragile
Maintenant…
Je crains parfois… qu’il ne se brise
Comme de l’argile…
Ou du cristal
Dans les yeux d’Annabelle…
Se cache un orage
Que je n’avais jamais vu…
Auparavant
Paroles: Hélène Scrive
Musique : Hélène Scrive - Stéphan Girard
Je me rappelle… d’Annabelle mon amie
Dont les yeux brillaient
Comme des étoiles
C’est avec elle…que j’ai aimé grandir
Je me souviens des étincelles
De son sourire…
Durant l’été… cheveux au vent…
Nous courrions vers la mer
Naïveté… des enfants…
Nous rêvions… au monde des grands
Et nous passions des après-midi
À mettre les robes de sa mère
Du haut de nos souliers…
C’était le paradis
Annabelle… a toujours son sourire
Mais je le sens plus fragile
Maintenant…
Je crains parfois… qu’il ne se brise
Comme de l’argile…
Ou du cristal
Dans les yeux d’Annabelle…
Se cache un orage
Que je n’avais jamais vu…
Auparavant
Tant de souvenirs
Bien des années ont passé
Mais je sais combien de fois
Un joli sourire
Réussit à masquer
Les larmes qui s’y noient
Chère Annabelle…
Nous ne sommes plus des enfants
Qui jouaient souvent…
À la madame…
Les années ont passé
Et ont fait de nous des femmes…
Des femmes…
Annabelle… a toujours son sourire
Mais je le sens plus fragile
Maintenant…
Je crains parfois… qu’il ne se brise
Comme de l’argile…
Ou du cristal
Dans les yeux d’Annabelle…
Se cache un orage
Que je n’avais jamais vu…
Auparavant
L’AUTOMNE PLEURE
Paroles et musique : Hélène Scrive
En refermant la porte derrière toi
Sans oublier tes promesses
Je me suis dit encore une fois
L’amour s’est trompé d’adresse
PRÉ-REFRAIN
Je vais rester avec l’automne
On va pleurer comme d’habitude
Il me comprend mieux que personne
Il connaît bien ma solitude.
REFRAIN
J’aimerais mieux qu’il me délaisse
Ce rideau de larmes parmi les couleurs
La pluie est toujours là, l’automne pleure
L’automne pleure en moi…
Les feuilles tombées sur le sol
Contiennent les teintes de mon amour
Je dois les ramasser ça m’désole
Elles sont un signe de non-retour
PRÉ-REFRAIN
Je vais rester avec l’automne
On va pleurer comme d’habitude
Il me comprend mieux que personne
Il connaît bien ma solitude.
REFRAIN
J’aimerais mieux qu’il me délaisse
Ce rideau de larmes parmi les couleurs
La pluie est toujours là, l’automne pleure
L’automne pleure en moi…
REFRAIN
J’aimerais mieux qu’il me délaisse
Ce rideau de larmes parmi les couleurs
La pluie est toujours là, l’automne pleure
L’automne pleure en moi...
L’automne pleure en moi.
Arrangements : Stéphan Girard - André Leclair
Paroles et musique : Hélène Scrive
En refermant la porte derrière toi
Sans oublier tes promesses
Je me suis dit encore une fois
L’amour s’est trompé d’adresse
PRÉ-REFRAIN
Je vais rester avec l’automne
On va pleurer comme d’habitude
Il me comprend mieux que personne
Il connaît bien ma solitude.
REFRAIN
J’aimerais mieux qu’il me délaisse
Ce rideau de larmes parmi les couleurs
La pluie est toujours là, l’automne pleure
L’automne pleure en moi…
Les feuilles tombées sur le sol
Contiennent les teintes de mon amour
Je dois les ramasser ça m’désole
Elles sont un signe de non-retour
PRÉ-REFRAIN
Je vais rester avec l’automne
On va pleurer comme d’habitude
Il me comprend mieux que personne
Il connaît bien ma solitude.
REFRAIN
J’aimerais mieux qu’il me délaisse
Ce rideau de larmes parmi les couleurs
La pluie est toujours là, l’automne pleure
L’automne pleure en moi…
REFRAIN
J’aimerais mieux qu’il me délaisse
Ce rideau de larmes parmi les couleurs
La pluie est toujours là, l’automne pleure
L’automne pleure en moi...
L’automne pleure en moi.
Arrangements : Stéphan Girard - André Leclair
Paroles et musique : Hélène Scrive
La vie c’est un jardin de roses
Comme les heures de chaque journée
Et si elles fanent, à peine écloses
C’est à nous de les parfumer
Quand ça devient parfois morose
C’est que des épines s’y cachent
Si on veut une métamorphose
Le secret est que l’on sache
On doit toujours se souvenir
Si on a peur et si on n’ose
Elles vont mourir nos belles roses
Alors, on doit se souvenir
En leur donnant du soleil
On croit en notre avenir
En leur donnant du soleil
On croit en notre avenir
Regarder grandir, prendre la pose...
Sourire, sourire.
Dans notre beau jardin de roses
Même si en nous tombe la pluie
Il faut seulement qu’on se repose
Pour que s’évade notre ennui
La vie c’est un millier de roses
On aime les regarder grandir
Quand on les voit prendre la pause
On a le goût… de sourire
De sourire…
On doit toujours se souvenir
Si on a peur et si on n’ose
Elles vont mourir nos belles roses
Alors, on doit se souvenir
En leur donnant du soleil
On croit en notre avenir…
En leur donnant du soleil
On croit en notre avenir…
On croit en notre avenir...
En leur donnant du soleil
Du soleil.
Arrangements : Stéphan Girard - André Leclair
SOLEIL SUR LA NEIGE
Paroles et musique : Hélène Scrive
Tôt ce matin… j’ai pris l’autocar
Jamais je n’me suis décidée
Aussi vite… aussi vite
Mon destin… sorti du placard
Impossible de changer d’idée
À ce rythme… à ce rythme
J’ai laissé la maison
Sens dessus dessous!
Mais de toute façon
Je vis seule je m’en fou!
Je m’en fou, je m’en fou…
De chaque côté de la route
Le Soleil brille sur la neige
Il fait aussi fondre mes doutes
Tandis que mon cœur s’allège
Car je sais que bientôt…
Je serai à nouveau… près de toi…
Ces quatre mois… m’ont semblé si longs
Mais je n’pouvais me libérer
Tout de suite… tout de suite
Pendant ce temps… je jouais du violon
Je me sentais bien inspirée
Et séduite… et séduite
J’ai laissé la maison
Sens dessus dessous!
Mais de toute façon
Je vis seule je m’en fou!
Je m’en fou, je m’en fou…
De chaque côté de la route
Le Soleil brille sur la neige
Il fait aussi fondre mes doutes
Tandis que mon cœur s’allège
Car je sais que bientôt…
Je serai à nouveau… près de toi…
Car je sais que bientôt…
Je serai à nouveau… près de toi…
Près de toi… près de toi…
Arrangements : Pierre Millette - André Leclair
Paroles et musique : Hélène Scrive
Tôt ce matin… j’ai pris l’autocar
Jamais je n’me suis décidée
Aussi vite… aussi vite
Mon destin… sorti du placard
Impossible de changer d’idée
À ce rythme… à ce rythme
J’ai laissé la maison
Sens dessus dessous!
Mais de toute façon
Je vis seule je m’en fou!
Je m’en fou, je m’en fou…
De chaque côté de la route
Le Soleil brille sur la neige
Il fait aussi fondre mes doutes
Tandis que mon cœur s’allège
Car je sais que bientôt…
Je serai à nouveau… près de toi…
Ces quatre mois… m’ont semblé si longs
Mais je n’pouvais me libérer
Tout de suite… tout de suite
Pendant ce temps… je jouais du violon
Je me sentais bien inspirée
Et séduite… et séduite
J’ai laissé la maison
Sens dessus dessous!
Mais de toute façon
Je vis seule je m’en fou!
Je m’en fou, je m’en fou…
De chaque côté de la route
Le Soleil brille sur la neige
Il fait aussi fondre mes doutes
Tandis que mon cœur s’allège
Car je sais que bientôt…
Je serai à nouveau… près de toi…
Car je sais que bientôt…
Je serai à nouveau… près de toi…
Près de toi… près de toi…
Arrangements : Pierre Millette - André Leclair
PARIS SOUS LA PLUIE
Paroles: Hélène Scrive
Musique : Hélène Scrive et Stéphan Girard
Ils marchaient d’un pas pressé…
Dans une course contre la montre
En courant têtes baissées
Cachés par leurs parapluies
Si j’avais pu de mon côté
Reculer chaque seconde
Je l’aurais fait sans hésiter
Même sous la pluie…
Ces gens que je voyais portant
Leurs parapluies de toutes les couleurs
Se reflétaient dans les rues
Comme dans un miroir
J’ai revu en un instant…
Une page d’histoire…
La toile d’un peintre connu
Accrochée dans ma mémoire
Quand je suis allée à Paris
La première fois
Je me souviens c’était l’hiver
Et même si le temps était gris
Mon cœur… ne l’était pas
Dans cet univers
Je n’avais pas froid
Même sous la pluie…, de Paris
L’idée m’est venue,
Que derrière les portes-fenêtres,
Ornés de balustrade
Et de géraniums en fleurs,
Ces vieilles pierres…,
Semblaient me souhaiter la bienvenue
Et j’ai alors compris…
Que Paris c’était différent, même sous la pluie…
Quand je suis allée à Paris.
La première fois
Je me souviens… c’était l’hiver
Et même si le temps était gris
Mon cœur… ne l’était pas
Dans cet univers
Je n’avais pas froid
Même sous la pluie…, de Paris
De Paris… de Paris…
De Paris… de Paris
Arrangements : Stéphan Girard - Serge Tremblay - Pierre Millette - André Leclair
Paroles: Hélène Scrive
Musique : Hélène Scrive et Stéphan Girard
Ils marchaient d’un pas pressé…
Dans une course contre la montre
En courant têtes baissées
Cachés par leurs parapluies
Si j’avais pu de mon côté
Reculer chaque seconde
Je l’aurais fait sans hésiter
Même sous la pluie…
Ces gens que je voyais portant
Leurs parapluies de toutes les couleurs
Se reflétaient dans les rues
Comme dans un miroir
J’ai revu en un instant…
Une page d’histoire…
La toile d’un peintre connu
Accrochée dans ma mémoire
Quand je suis allée à Paris
La première fois
Je me souviens c’était l’hiver
Et même si le temps était gris
Mon cœur… ne l’était pas
Dans cet univers
Je n’avais pas froid
Même sous la pluie…, de Paris
L’idée m’est venue,
Que derrière les portes-fenêtres,
Ornés de balustrade
Et de géraniums en fleurs,
Ces vieilles pierres…,
Semblaient me souhaiter la bienvenue
Et j’ai alors compris…
Que Paris c’était différent, même sous la pluie…
Quand je suis allée à Paris.
La première fois
Je me souviens… c’était l’hiver
Et même si le temps était gris
Mon cœur… ne l’était pas
Dans cet univers
Je n’avais pas froid
Même sous la pluie…, de Paris
De Paris… de Paris…
De Paris… de Paris
Arrangements : Stéphan Girard - Serge Tremblay - Pierre Millette - André Leclair
COMMENT PUIS-JE ACCEPTER
Paroles et musique : Hélène Scrive
Pour seule notion de l’heure
Une petite cage de verre
Sur un mur dont la pâleur
Me rappelle le froid d’hiver
Le feu en moi se meurt
Je m’en fiche pour être honnête
Le chagrin en ma demeure
Devenu ma seule fenêtre
De voir…
La lumière dans tes yeux s’éteindre
La douleur… une telle prison…
Savoir…
Que tu oubliais de te plaindre
Sans espoir de guérison…
Me touche infiniment…
Comment puis-je accepter?
Que tu m’ais déjà quittée…
Vulnérable… non plus à l’abri
De mes peurs… de mes peurs
Lamentable…regard assombri
Par mes pleurs… par mes pleurs
Le temps s’est arrêté…
Depuis que tu m’as quittée.
J’entends une meute de loups
C'est le vent qui hurle si fort
Mon chien oublie d’être jaloux
C’est lui seul qui garde le fort
Il prend son rôle au sérieux
Sagement couché à mes pieds
Si déjà il se fait vieux
Du coin de l'œil, il sait m’épier
De voir…
La lumière dans tes yeux s’éteindre
La douleur… une telle prison…
Savoir…
Que tu oubliais de te plaindre
Sans espoir de guérison…
Me touche infiniment…
Comment puis-je accepter?
Que tu m’ais déjà quittée…
Vulnérable… non plus à l’abri
De mes peurs… de mes peurs
Lamentable… regard assombri
Par mes pleurs… par mes pleurs
Le temps s’est arrêté…
Dès l’instant où tu m’as quittée.
Arrangements : Stéphan Girard - André Leclair
Paroles et musique : Hélène Scrive
Pour seule notion de l’heure
Une petite cage de verre
Sur un mur dont la pâleur
Me rappelle le froid d’hiver
Le feu en moi se meurt
Je m’en fiche pour être honnête
Le chagrin en ma demeure
Devenu ma seule fenêtre
De voir…
La lumière dans tes yeux s’éteindre
La douleur… une telle prison…
Savoir…
Que tu oubliais de te plaindre
Sans espoir de guérison…
Me touche infiniment…
Comment puis-je accepter?
Que tu m’ais déjà quittée…
Vulnérable… non plus à l’abri
De mes peurs… de mes peurs
Lamentable…regard assombri
Par mes pleurs… par mes pleurs
Le temps s’est arrêté…
Depuis que tu m’as quittée.
J’entends une meute de loups
C'est le vent qui hurle si fort
Mon chien oublie d’être jaloux
C’est lui seul qui garde le fort
Il prend son rôle au sérieux
Sagement couché à mes pieds
Si déjà il se fait vieux
Du coin de l'œil, il sait m’épier
De voir…
La lumière dans tes yeux s’éteindre
La douleur… une telle prison…
Savoir…
Que tu oubliais de te plaindre
Sans espoir de guérison…
Me touche infiniment…
Comment puis-je accepter?
Que tu m’ais déjà quittée…
Vulnérable… non plus à l’abri
De mes peurs… de mes peurs
Lamentable… regard assombri
Par mes pleurs… par mes pleurs
Le temps s’est arrêté…
Dès l’instant où tu m’as quittée.
Arrangements : Stéphan Girard - André Leclair