Vers l'infini et l'au-delà.
Le contexte se définira dans un espace infini.
Un personnages défilera le long des différents paysages imaginaire qui sera en relation avec la nuature et l’espace urbain ou un espace irréel. Le monde est un espace public car il appartient à tout me monde mais paradoxalement ici il sera de l’odre du privé par la transformation de mon imaginaire.
Un personnages défilera le long des différents paysages imaginaire qui sera en relation avec la nuature et l’espace urbain ou un espace irréel. Le monde est un espace public car il appartient à tout me monde mais paradoxalement ici il sera de l’odre du privé par la transformation de mon imaginaire.
On a l’habitude de donner certaines connotations comme le vert à la nature, dans ce cas présent les couleurs seront autres et de plus le paysage deviendra sombre, non du côté de la tristesse mais de l’univers dont je fais parti.
On peut voir comme cela mon «moi» projetté dans la nature.
On peut voir comme cela mon «moi» projetté dans la nature.
Port paisible, Sergey Kolesov, 2009.
Oeuvre numérique.
Pierre ALECHINSKY, Ouverture, 2008
Ce qu’Alechinsky a découvert au fur et à mesure que se multipliaient ses toiles en tondo, c’est qu’une nouvelle liberté lui avait été donnée, celle de l’oubli. Tout ce qu’un peintre, après l’avoir découvert, finit par
répéter, tout cet automatisme de la main (…),
répéter, tout cet automatisme de la main (…),
La nature comme je la voit fait référence à la culture sociale. Le paysage sombre synonyme de maginalité, de différence et de troubles.
Confronté au monde réel, le paysage sera en grande parti vide pour comprendre qu’au milieu du monde on est seul. La nature synonyme du vivant et de joie sera ici morte.
L’odre du privé : comment je vois la nature
autour de moi.
autour de moi.
L’odre du public : le paysage appartient à tout le monde, la culture également mais tout le monde ne la voit pas pareil.
