« le pavillon du mouvement, centre chorégraphique les Ponts Dansants » représente cette volonté qu’a l’UNESCO, de démocratisation et diversité culturelle et de cohésion sociale, comme l’a demandé Renaud Donnedieu de Vabres Ministre de la culture et de la Communication, lors de son communiqué dès 2005 et également Aurélie Filippetti, Ministre de la culture et de la communication actuel : « Concilier le pluralisme des expressions culturelles et les valeurs communes qui fondent l’appartenance à une communauté nationale, tel est le défi auquel sont confrontées aujourd’hui les politiques culturelles publiques. »
Le Pont entre les différentes cultures est étudié dans ce dossier en tant que vecteur de cohésion sociale et de repère culturel. En effet, par son implantation dans les grands ensembles reculés des villes, il permet de retisser le lien social entre « la ville » et ces quartiers trop souvent retranchés dans le tissu péri-urbain des villes.
Cette structure établit un pont et relie la cité à la ville par un espace public construit pour tous. Ce pavillon du mouvement, permet l’épanouissement de l’individu, de ressenti commun, et par extension de bien-être grâce à un vecteur commun qui est l’expression corporelle.
L’isolation thermique est faite grâce à l’air emprisonné dans les « ballons » d’ETFE de plus la membrane est galvanisé ce qui permet aux ballons de protéger l’espace de fortes chaleurs.
Ce pavillon du mouvement est un édifice pérenne et mobile qui a pour objet de mutualiser (au sens partager) les différentes formes de culture. Par sa spécificité itinérante, cet édifice permet de générer de l’emploi sur les zones dans lesquelles il s’implante. Ainsi il permet de communiquer dès son montage : il crée l’évènement par lui-même, à la manière du cirque aux portes d’une ville. Les riverains, citadins, s’interrogent, s’intéressent et en parle.
Les conteneurs utilisés pour l'acheminement sont réutilisé pour créer l'aménagement intérieur. Ils sont refaçonnés et créent une mezzanine sur le dessus
