Peeling the Reality to the bone
# La réalité peut elle se limiter à la somme des photons qui frappent inlassablement notre rétine ? Simple addition des stimuli qui nous assaillent, se trouve elle là, cachées dans le crépitement électrique qui embrase nos axones ?
Peut-elle être quantifiée par la science, rationalisée par la philosophie, ou bien même capturée sur un mince ruban de celluloïd comme un Djinn courroucé dans son antique lampe à huile ?
Peut-elle être quantifiée par la science, rationalisée par la philosophie, ou bien même capturée sur un mince ruban de celluloïd comme un Djinn courroucé dans son antique lampe à huile ?
Nos expériences(s) du réel, les paysages que nous traversons chaque jours, familiers, intimes jusqu’à l’os ne seraient il pas uniquement les éléments disparates de notre théâtre intérieur. Perspectives truquées, empilement de carton pâte et de stuc, superbes images de synthèse façonnées à notre unique attention par le prisme réducteur de notre perception.
Couches après couche, ronger le réel jusqu’à l’os.
# Reality can it be limited to the amount of photons that strike the retina tirelessly? Simple addition of stimuli that plague us, it is there, hidden in the electric crackle that embraces our axons?
Can it be quantified by science, rationalized by philosophy, or even captured on a thin strip of celluloid as angry Djinn in his antique oil lamp?
Can it be quantified by science, rationalized by philosophy, or even captured on a thin strip of celluloid as angry Djinn in his antique oil lamp?
Our experience (s) of the Real, the landscapes we cross day after day, familiar, intimate to the bone … wouldn’t it be the disparate elements of our inner theater. Rigged perspectives stack of cardboard pulp and stucco, beautiful CG shaped for our undivided attention by the reducing prism of our perception.
Layer after layer … Peeling the Reality to the bone.
