
« L’argot est fait pour permettre à l’ouvrier de dire à son patron qu’il déteste : tu vis bien et moi mal, tu m’exploites et roules dans une grosse voiture, je vais te crever. »
Louis-Ferdinand Céline, « Propos sur Fernand Trignol et l’argot », Arts, n°605, du 6 au 12 février 1957.


