Partie avec comme seule consigne de trouver un lieu nantais sur lequel expérimenter, j’ai souhaité me pencher sur le mémorial de l’abolition de l’esclavage, le monument étant un endroit qui m’a touchée pendant ma première année d’architecture. Delà, je m’en vais questionner des amis, des connaissances, des rencontres éphémères qui me racontent ce qu’ils y ressentent, comment ils voient le mémorial, dans quelles circonstances ils s’y sont rendus. Les variations d’opinions sont grandes et c’est ce qui fait les multiples facettes de ce projet. J’essaie ainsi d’y traduire des avis, de retranscrire des émotions au travers de moyens de représentations variant, d’exprimer une perception humaine au travers d’un travail sensiblement subjectif.