AUTEURE D'UN GRAND NOMBRE DE TEXTES, EN VOICI QUELQUES UNS....
SI LES AUTEURS…. N’EXISTAIENT PAS
Les auteurs peuvent…avec leur plume
Rendre les mots si tendres
Et dans une fièvre…, qui les allume
Conjuguer, à tous les temps…
Le verbe aimé…
Les déposer,…sur toutes les lèvres
Pour que chaque instant…fasse rêver…
Les auteurs peuvent…avec leur plume
Ces mots… les reprendre
Surtout si le feu …, qui se consume
Est presque entièrement éteint…
Les exprimer…
En autant de cendres… que d’aveux
Un bon matin… les retrouver
Les auteurs peuvent…avec leur plume
Ces mots… qu’ils désirent entendre
Dans leur tête…monter le volume
Les laisser prendre leur envol
Imaginer…
Qu’ils renaissent en musique
Sur une clef de sol…les graver
Si les auteurs…les paroliers…
Qu’ils soient hommes ou femmes…
N’existaient pas…
Il nous manquerait… l’essence… REFRAIN
Il ne faut jamais oublier…
Qu’en nous apportant leur flamme
Ils sont le cœur de notre existence
Sans eux… tous les médias…
Tomberaient de plusieurs niveaux
Telle, la chanson, la télévision
Les livres, théâtre et cinéma
A-t-on pensé…seulement au poids…
De leurs écrits …ce que ça vaut
J’ai une toute autre vision…
Ils méritent autant, selon moi… oui autant…de bravos…
Quand on regarde…
Ceux qui deviennent populaires…
Avec l’amour de leur public…
En avant…jamais en arrière…
Les comédiens et les chanteurs…
Le font grâce à leur propre talent
Bien sûr…mais encore…
Les auteurs qui… sans en avoir l’air
Sont les seuls à s’faire la réplique
Combien vivent dans la lumière…
D’un écran d’ordinateur…
Ils devraient être au premier plan
Si les auteurs…les paroliers…
Qu’ils soient hommes ou femmes…
N’existaient pas…
Il nous manquerait… l’essence… REFRAIN
Il ne faut jamais oublier…
Qu’en nous apportant leur flamme
Ils sont le cœur de notre existence
Sortir enfin de cette impasse…
Aimons-les comme il se doit…
Trouvons en nous l’audace
De voir la médaille à l’endroit
Il faut qu’on leur donne la place
Qui, leur reviennent de droit…
Non une simple dédicace…
Qu’aimablement on octroie
Pourquoi… faut-il qu’ils demeurent
Dans l’ombre…
De tous ceux…qui vivent…
Grâce à leurs mots…
Pourquoi… attendre qu’ils meurent CONCLUSION
Afin que retombe…,
La gloire sur eux…combien de livres... ?
Combien de mots… ?
Avons-nous besoin…pour comprendre…
Qu’ils donnent un sens…à notre vie…
Cet amour qu’ils ont pour leur travail
Deviendra sans faille…
Le jour où on voudra croire
En leur heure de gloire…applaudissons-les…maintenant !
Si les auteurs…les paroliers…
Qu’ils soient hommes ou femmes…
N’existaient pas…
Il nous manquerait… l’essence… REFRAIN
Il ne faut jamais oublier…
Qu’en nous apportant leur flamme
Ils sont le cœur de notre existence
Hélène Scrive Tous droits réservés © Copyright 2008 Hélène Scrive
Déposé à la SARTEC et à la SPAC
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LETTRE… À MA LANGUE FRANÇAISE
Chère langue française…
Tu es une des plus grandes richesses,
Qui a été transmise, à chaque personne qui te reçoit.
Un magnifique héritage, à mon avis le plus beau, qui soit.
Tu nous sers d’ancrage, d’une génération, à l’autre,
En nous offrant le courage, de rester unit en toi…
Tous les poètes, de la Terre, désirent tellement te faire frissonner…
Pour combler de joie ton esprit…, ils écrivent sur ton ardoise.
Les auteurs, âmes solitaires… jamais tu n’ les as abandonnés,
J’en suis une… te l’ai-je dit ? Depuis que je t’apprivoise,
Ce n’est plus un mystère, en moi… tu es enracinée.
Grâce à toi,
J’ai trouvé la voie de mon cœur…
Dans tous mes écrits, tu es là…pour me parler…
Dans tous mes cris, tu es là…pour me consoler.
En échange, je te chante…
Auprès des notes de musique…, mes paroles…s’envolent…
Sur une douzaine de portées.
Des airs mélodiques…, en clef de fa…ou de sol…
Tu continues de m’habiter.
Je comprends que parfois, tu sois triste… ton vocabulaire…,
Certains n’y font pas attention…ça me fait de la peine…,
Que tes mots, écorchés à vif, te coupent le souffle, l’air…dans ta pleine définition.
Il faut que tu existes partout, surtout en milieu scolaire.
Et la meilleure solution…pour que tu restes toi-même…,
C’est que chacun pratique..., les mots, de ton dictionnaire…ainsi que tes expressions.
En terminant, ma belle langue française…
Je désire t’assurer, que dans cette lettre que je t’écris, je me fais porte-parole des
Québécois, et de tous ceux qui te parlent, à travers le Monde, sur tous les Continents.
Pour chacun, tu es notre fierté! D’hier… à aujourd’hui…et demain, plus encore!
Molière et bien d’autres l’ont promis… tu es notre langue…notre amour!
« Je me souviens »… on le pense… chaque jour!
Hélène Scrive Tous droits réservés © Copyright 2008 Hélène Scrive
Déposé à la SARTEC et à la SPAC
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LE VIRUS DE LA GRIPPE
Je me sentais mal…
Vous allez comprendre
Que c’était normal!
Bien entendu,… j’ai survécu…
Mais je vous assure… INTRODUCTION
Que j’étais sur…, le point de rendre l’âme
Loin d’être un cadeau…, j’en avais plein l’dos
Une sinusite… une pharyngite…
Une amygdalite… une bronchite… une otite…
Je vous le dis… tout le kit!
Mon nez coulait à chaque instant
Comme des érables au printemps
En trois jours deux boîtes de mouchoirs
Je n’étais vraiment pas belle à voir…
Ça me faisait pleurer sérieux…
Car je clignais aussi des yeux
J’ai eu droit à un bonus…
Ils ressemblaient à des trous d’suce
Je m’étais déjà doutée…
Que j’arrêterais de goûter
Un mal de tête carabiné
Ne voulait plus m’abandonné
J’en ai pris des analgésiques
Mais aucun effet magique
Le mal de gorge s’en est mêlé
Et que dire pour avaler…
Inutile de vous en parler
Les pastilles ont défilé…
Attention ! Au virus d’la grippe
J’suis libérée d’autant de mots
Qui sont témoins dans ce texte
J’vous promets qu’avec ces maux REFRAIN
J’ai besoin d’une annexe…
J’les aime mieux en musique
Et même plus… si ça fait un hit !…
Je n’bâillais pas aux corneilles…
Même si j’manquais de sommeil
Mes lèvres devenues gercées
Je n’arrivais qu’à grimacer…
Mon nez tellement usé…
Perdu le goût de m’amuser
La douleur dans mes oreilles
Jamais rien eu de pareil
Je me croyais à l’agonie
Attendez… ! C’n’est pas fini…!
J’ai senti une montée d’fièvre…
Je m’suis dit… ça y est je crève !
J’ai rejeté mes couvertures…
Et prit ma température…
Ma peau tout’ rouge et les frissons
Ont confirmé mes soupçons
Près de trente-neuf… degrés Celsius…
Attendez… ! Il y a plus… !
Attention ! Au virus d’la grippe
J’suis libérée d’autant de mots
Qui sont témoins dans ce texte
J’vous promets qu’avec ces maux REFRAIN
J’ai besoin d’une annexe…
J’les aime mieux en musique
Et même plus… si ça fait un hit !…
J’ai dû m’étendre dans ma baignoire
Dans un état de désespoir
L’eau plus froide… que chaude
Imaginez… sur les hautes…!
J’essayais de m’endormir…
Seulement le goût de gémir
Il fallait… que j’endure
Je vivais… une torture
Je m’suis encore levée…
Pour regarder la TV
Le sirop de codéine
M’a donné l’adrénaline
J’n’ai pas eu le choix d’en prendre…
Je toussais…à fendre l’âme
J’étais seule dans mon appart…
Je n’aurais pas laissé ma carte
Avoir été un peu plus mal
Je serais allée à l’hôpital…
Attention ! Au virus d’la grippe
J’suis libérée d’autant de mots
Qui sont témoins dans ce texte
J’vous promets qu’avec ces maux REFRAIN
J’ai besoin d’une annexe…
J’les aime mieux en musique
Et même plus… si ça fait un hit !…
Et enfin… pour finir… !
Me voyez-vous…venir…
J’ai pris des antibiotiques
C’n’était pas très romantique…
Dehors il faisait moins trente
Je me souviens des maux d’ventre… CONCLUSION
J’étais… au bord de la nausée
Sortir… j’n’aurais pas osé…
J’en suis venue à bout…enfin guérie
Si j’avais eu un petit chéri…
Il aurait été découragé
De m’voir aussi ravagée…
Attention ! Au virus d’la grippe
J’suis libérée d’autant de mots
Qui sont témoins dans ce texte
J’vous promets qu’avec ces maux REFRAIN
J’ai besoin d’une annexe…
J’les aime mieux en musique
Et même plus… si ça fait un hit !…
Hélène Scrive Tous droits réservés © Copyright 2008 Hélène Scrive
Déposé à la SARTEC et à la SPAC
L’HIVER… AU QUÉBEC
Un seul coup d’oeil… à ma fenêtre…
La neige moins fine… devient tempête…
La marmotte… devait voir son ombre INTRODUCTION
Elle s’en moque…l’hiver nous encombre…
Certain qu’elle aime mieux dormir…
On s’en souviendra à l’avenir…
Je suis allée poster des lettres
En même temps, faire des emplettes
J’ai dû remiser la voiture
En voyant la température
Je m’suis dit…je vais prendre l’air
J’en ai eu une crise de nerfs…
Aller à pied sur le trottoir
Aurait pu passer à l’Histoire
Je m’enfonçais jusqu’aux mollets
En dansant même le ballet…
Avec mon joli jeu de mains,
J’aurais passé à l’examen
Un vent de mauvais augure…
Grésil me fouettait la figure
Mon foulard m’aidait un peu…
Je me suis dit… sauf qui peut…!
Les prévisions…
Pour le Québec... sont…prudence…!
Le scénario ressemble à celui d’hier…
Surtout pour les conditions routières…
Les vents violents, la grêle, la tempête de neige…, REFRAIN
Et la pluie verglaçante, rendent la chaussée traître…!
Au cours de la nuit prochaine, la température… descendra à moins vingt…
Pour demain, on prévoit… des rafales de neige…
À plusieurs endroits… jusqu’à trente centimètres…
Au retour… un vrai cul-de-sac
J’avais au moins huit sacs
Le trottoir, presque inhumain
J’ai choisi de prendre le chemin
Comme les autos klaxonnaient
J’ai dû grimper au sommet…,
Je me sentais prisonnière…
M’ennuyant de ma tanière
Le trottoir… un amas de neige
J’ai refait le même manège…
En ville on pourrait s’en passer
On n’a pas l’choix d’la ramasser
À ne plus savoir ou la mettre,
Il nous faut bien admettre…
Que même si elle est jolie…
On est enseveli…!
Les prévisions…
Pour le Québec... sont…prudence…!
Le scénario ressemble à celui d’hier…
Surtout pour les conditions routières…
Les vents violents, la grêle, la tempête de neige…, REFRAIN
Et la pluie verglaçante, rendent la chaussée traître…!
Au cours de la nuit prochaine, la température… descendra à moins vingt…
Pour demain, on prévoit… des rafales de neige…
À plusieurs endroits… jusqu’à trente centimètres…
C’est long… que l’hiver finisse
Sans vouloir être pessimiste…
On a tellement à pelleter
Qu’on devient vite éreinté!
Cela nous prendrait un homme
Parce qu’on reçoit des tonnes
Avant d’conduire, on dit nos prières
Je ne prends pas d’chance depuis hier
La glace noire sur les routes…
Est une patinoire, on s’en doute
Les sportifs aiment bien l’hiver
Pour les autres c’est un calvaire
Les enfants…sont bien contents…
Quand les écoles font, relâche…
Les parents…, peut-être pas autant
Ça ne dépend pas de l’âge…!
Les prévisions…
Pour le Québec... sont…prudence…!
Le scénario ressemble à celui d’hier…
Surtout pour les conditions routières…
Les vents violents, la grêle, la tempête de neige…, REFRAIN
Et la pluie verglaçante, rendent la chaussée traître…!
Au cours de la nuit prochaine, la température… descendra à moins vingt…
Pour demain, on prévoit… des rafales de neige…
À plusieurs endroits… jusqu’à trente centimètres…
L’hiver se la coule douce…
Et plusieurs ont la frousse…
D’attraper tous les microbes
Mais grâce au vaccin d’octobre…
On peut éviter d’être malade
Si on fait moins d’accolades…
Le chauffage coûte un prix d’fou
Quand c’est compris, le monde s’en fout
En montant le thermostat…
On gèle, encore je le constate
C’est sûrement la faute du vent…
Il commence à être énervant
C’est ça l’hiver au Québec
J’n’ai personne qui m’donne des becs
Et parfois ça me rend triste
Mais… j’ai mes talents d’artiste…
Les prévisions…
Pour le Québec... sont…prudence…!
Le scénario ressemble à celui d’hier…
Surtout pour les conditions routières…
Les vents violents, la grêle, la tempête de neige…, REFRAIN
Et la pluie verglaçante, rendent la chaussée traître…!
Au cours de la nuit prochaine, la température… descendra à moins vingt…
Pour demain, on prévoit… des rafales de neige…
À plusieurs endroits… jusqu’à trente centimètres…
Hélène Scrive Tous droits réservés © Copyright 2008 Hélène Scrive
Déposé à la SARTEC et à la SPAC
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