Les techniques utilisé et la mise en œuvre. Qui, quand et où sont les trois points qui étaient fixer. Quoi était la question en suspens, puisque j’avais beaucoup trop d’idées. Suite à la séance photo, mon projet c’est plus concrétisé. Dans Photoshop, j’ai principalement utilisé l’outil de sélection rapide pour le détourage et l’efface avec une petite densité pour un effet flou. J’ai fait la plus des retouches dans Camera RAW et j’ai aussi utiliser l’outil densité +.

Le concept est le temps et ce que nous sommes. Le monde au-delà du nôtre,. Mon projet reflète l’existante douteuse d’un autre univers. Pour certains cela évoquera l’obscurité, le mal, et pour d’autre la lumière, le bien ; d’où le titre « Lumière dans l’obscurité ».

·       « Prisonnière du triquetra » symbolise le passé (celle à droite : flou comme un souvenir), le présent (celle au centre : les yeux ouverts puisqu’elle est consciente du moment) et le futur (celle à gauche : de dos le visage cacher comme l’inconnu). La lampe à l’huile, au centre, au cercle du triquetra qui représente la féminité et la fertilité.

·       « Élévation » désigne un état d’éveille spirituel, l’éveillé de l’esprit, atteignant ainsi un niveau supérieur de connaissance. 

·       « Conscience, corps et âme » (les trois petites photos) sont une autre interprétation du triquetra qui ensemble signifient l’esprit. 

Pour résumer, une marginale brave les limites de notre connaissance en remettant en question notre existence. Le temps connecter et la gravité déjouer suscite une seule question : est-ce irréel ou réel ? 

Dans toutes créations, il y a des forces et des faiblesses. Les points forts sont, à mon avis, le concept, la présentation des images et le lien créé par le rappelle des couleurs et de certains objets (généralement les chandelles) dans chacune d’entre elle. Le plus grand point faible est le découpage et l’ombre de « Élévation ». Aussi, la luminosité est un peu trop sombre et quelques problèmes au niveau des couleurs (attribuer un profil). Au niveau des difficultés, la plus grande fut de travail avec des images relativement sombres, ce qui compliquait la tâche du découpage puisque je voyais pratiquement rien sur l’écran et ce n’était pas plaisant pour les yeux. Une autres fut d’avoir trop d’idées, je m’éparpillais et ne savait plus dans quelle direction aller. Par chance, mes idées étaient regroupées en trois grandes sections, ce qui m’a aidé à trouver le chemin.